
Passage inconnu 1
- Passage inconnu 1
Passage inconnu 1
- Musicalité des arbres de l’île enchantée
Musicalité des arbres de l'île enchantée
- L’oeil du miroir 50-50cm
L'oeil du miroir 50-50cm
- L’île enchantée 40-40cm
L'île enchantée 40-40cm
- L’île blanche
L'île blanche
- Le miroir réfléchit 55-46cm
Le miroir réfléchit 55-46cm
- Pluie
Pluie
- Glacis 60-20cm
Glacis 60-20cm
- Celui qui regarde la toile 60-60cm
Celui qui regarde la toile 60-60cm
- Carré blanc
Carré blanc
- Brume
Brume
- Au petit matin
Au petit matin
- s’abstraire
s'abstraire
- Alternative, huile sur toile, 81x65 cm
Alternative, huile sur toile, 81x65 cm
- Translucide, Huile sur toile, 80x80 cm
Translucide, Huile sur toile, 80x80 cm
- Méditation, Huile sur toile, 50x50 cm
Méditation, Huile sur toile, 50x50 cm
- Neige
Neige
- Passage inconnu 2
Passage inconnu 2
- Rythmiques
Rythmiques
- matiére grise
matiére grise
- contemplation
contemplation
- musique
musique
- ombres
ombres
- savoir regarder
savoir regarder
- apparence
apparence
- consonances dissonances
consonances dissonances
- consonances dissonances
consonances dissonances
- consonances dissonances
consonances dissonances
- pensée rouge
pensée rouge
- libre cours
libre cours
- envolée lyrique
envolée lyrique
- envolée lyrique
envolée lyrique
- envolée lyrique
envolée lyrique
- argile
argile
- rythmiques
rythmiques
- jouer de la truelle
jouer de la truelle
- ocre jaune
ocre jaune
- chaleur
chaleur
- éclatement rouge
éclatement rouge
- clé de sol
clé de sol
Anne Laville :
Après un parcours accompli de plasticienne (de la céramique au volume,
du volume à la gravure) Anne besogne toujours et encore.
Aujourd’hui se déclinent comme si nous avions les yeux plissés des
points de vue à la fois lointains et imprécis et plus intimistes.
Son approche du modelage de la sensation semble appartenir à ce monde
qu’un jour nous avons découvert, humé et ressenti dans une forêt entre
chien et loup, dans les brumes matinales du bord d’un lac, n’importe où
d’ailleur. Anne fabrique une peinture qui va d’elle même, monte en
matière, se peaufine et enfin se brouille ; comme si elle faisait
partie déjà de notre passé propre vision immergée glacis sensuel du
souvenir
Ce serait lieu commun de dire que ses miroirs peints si flous nous
rapprochent de nous même ; comme si il était inéluctable dans tout
chemin artistique de connaître tant et si bien ce qui nous entoure,
pour enfin le restituer d’une manière évanescente, disparaissante.
Sylvie Vaugeois
Merci Sylvie pour ses propos sur ma peinture
mais je me pose toujours la question... Comment traduire l’impalpable
pour que celui-ci devienne palpable en regard d’une fenêtre de l’âme !